Qu'est ce que vous lisez en ce moment?

Rêves et cauchemars de Stephen King.

terminés cette semaine :

Fondation et empire de Isaac Asimov
un empire en déclin, une société pacifiée dans sa périphérie, une rencontre entre deux sociétés.
Asimov nous emmene dans une histoire de SF, de croyances, de politiques, avec une virtuosité remarquable. La narration est fluide et prenante et je ne me suis aperçu qu'après coup que c'est le second livre d'une trilogie. A lire avec plaisir.

Les dieux eux-mêmes de Isaac Asimov
Quand les humains trouvent une nouvelle source d'énergie grâce à un échange avec un univers parrallèle, c'est le bonheur total ! Mais quand quelques scientifiques emmettent des doutes et des remarques alarmistes sur ses risques potentiels, le monde politiques et scientifiques fait bloc contre ces illuminés...
"Contre la stupidité, les dieux eux-mêmes luttent en vain."
Schiller

Sauf le respect que je vous dois de Guy Carlier .
Présentation de l'éditeur
À l'aube de la campagne électorale, tous les candidats à la présidentielle se sont présentés à nous, déguisés en Père Noël,des paquets-bonheur plein la hotte...
Mais chacun sait ce qu'il en est de ces Pères Noël de grande surface : sous le manteau rouge, on voit parfois apparaître un costume pas très joli.
Dans ce livre, Guy Carlier leur en taille un nouveau à chacun.Car l'animateur le plus redouté du PAF n'a pas la mémoire courte.C'est gênant pour ceux qui se contredisent et trahissent leurs promesses. De plus, Guy Carlier est un amoureux déçu de la politique. Ça rend féroce... Mais ça peut aussi aider le lecteur, finalement, à choisir le moins mauvais.
Je l'ai lu sur l'aprés midi, entre deux clients. Bien avec les phrases assassines comme il faut.

Windows on the world de Frédéric Beigbeder...
"Le seul moyen de savoir ce qui s'est passé dans le restaurant situé au 107e étage de la tour nord du World Trade Center, le 11 septembre 2001, entre 8 h 30 et 10 h 29, c'est de l'inventer." F.B
C'est noir, forcément... entre l'histoire de ce père divorcé qui est coincé dans le restaurant du 107ème étage de l'une des deux tours avec ses deux enfants et les "états d'âmes" de l'auteur, le récit est cynique, assez violent, pessimiste mais parfois drôle... on sent que Frédéric Beigbeder est touché par ce qui s'est passé le 11 septembre 2001 aux Etats-Unis... comment ne pas l'être en même temps... pas de happy end au "roman" du côté du World Trade Center évidemment, on connaît tous la fin de l'histoire...

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Nos amis les humains de Bernard Werber... un homme et une femme se retrouvent seuls et enfermés dans une cage de verre... ils ne tardent pas à se rendre compte qu'ils sont en réalité les "animaux domestiques" d'une espèce extra-terrestre et que le destin de l'Humanité est entre leurs mains, si on peut dire...
Uniquement composé de dialogue, le roman se lit très rapidement... il est court et prenant mais on a un peu de mal à s'attacher aux personnages... à lire si on veut découvrir le style particulier de Bernard Werber mais il ne s'agit pas de son meilleur roman, selon moi...

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Métaphysique des tubes et Attentat d'Amélie Nothomb... je commence à beaucoup l'apprécier... elle a un style bien à elle et très particulier, comme chacun le sait... c'est la première parvenue à me faire rire en lisant un bouquin... puis elle maîtrise la langue française et les mots d'une façon assez remarquable...

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Les cimetières sont des champs de fleurs de Yann Moix...
Deux enfants ont trouvé la mort dans un accident d'automobile. Leur mère, Elise, qui conduisait, survit. Fou de douleur, son mari, Gilbert, va entreprendre de lui faire payer ce qu'il juge être son crime. Dès lors, l'existence d'Elise n'est plus que souffrance, culpabilité, humiliation. Gilbert, lui, ne découvrira que trop tard ce que peut l'amour, au-delà du deuil et de la destruction.
En fait, je n'ai tenu que quarante pages... c'est rare que je commence un livre sans le terminer mais là vraiment... aucun intérêt pour moi... je n'aime pas le style de l'auteur et encore moins ses propos de haine qui ne font que se répéter au fil des pages...

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L'abolition de Robert Badinter...
Le combat de cet homme pour l'abolition de la peine capitale en France... entre la scène politique, les cours d'assises et les cellules de prison, je n'aurais pas imaginé qu'un tel acharnement fut nécessaire... le bouquin est vraiment très intéressant d'un point de vue politique mais judiciaire, aussi...

Et avec tout ça, toujours pas fini Harry Potter... :/

je viens de lire le petit prince...
C'est tout même une histoire connue et je voulais savoir de quoi ça parlait vraiment!

Le petit prince est une histoire qu'on peut lire de 7 à 77 ans...il y a plusieurs niveaux de lecture...

Et aprés 77 ans on ne peut plus le lire

c'est que tu t'es connecté a 5h richter!!

plusieurs niveaux oui c clair !!

Moi, je suis en train de lire le tome 2 du grimoire de féerie de Minguez, Istin et Debois ^^

J'peux pas plaire à tout le monde : Une année de chroniques chez Fogiel par Guy Carlier .

la semaine dernière :
Les barreaux de l'Eden de Pierre Pelot

et j'ai presque fini de relire Demons et Merveilles de Lovecraft

Sept jours pour une éternité de Marc Lévy, il est pas mal, c'est bien écrit!

Lolo992 a écrit:

J'peux pas plaire à tout le monde : Une année de chroniques chez Fogiel par Guy Carlier .

Il ne doit pas être mauvais celui-là...
J'ai lu l'un de ses bouquins... vraiment d'excellentes chroniques... parfois un peu acerbes...

Edit : 1000 messages !

... pour une fois Nothomb privilégie le fond sur la forme ...
bourré de références marquantes et de coups dans le bide ...
"acide" est pour une fois un terme adéquat ...




... Hilarant ! Grandiose ! ...
le grand Jedi de l'absurde !!!!!

L'os à moêlle je ne sais combien de fois je l'ai lu!.Excellent.

Miso soup de Ryû Murakami.

Présentation de l'éditeur
Kenji, un jeune Japonais de vingt ans, gagne sa vie en guidant des touristes dans le célèbre quartier louche de Kabukichô, à Tôkyô. C'est en compagnie de Frank, un client américain, qu'il parcourt durant trois nuits les lieux de plaisir de Shinjuku : trois nuits de terreur auprès d'un meurtrier inquiétant avec qui il joue au chat et à la souris. Ce roman court et percutant laisse une sorte d'amertume, un goût métallique pareil à celui du sang qui imprègne ces pages minutieuses décrivant - comme l'auteur l'avait magistralement fait dans son roman Les Bébés de la consigne automatique - l'agonie d'un monde sans âme et voué à la solitude. " La littérature, nous dit Murakami, consiste à traduire les cris et les chuchotements de ceux qui suffoquent, privés de mots... En écrivant ce roman, je me suis senti dans la position de celui qui se voit confier le soin de traiter seul les ordures. "

Dans un style concis et percutant...

moi j'lis l'Affaire Charles Dexter Ward en c'moment.

putain comment qu'il est ford HP ya pas à chier ! Au Viêt-Nam c'était l'meilleur.... il l'est toujours !

Lolo992 a écrit:

L'os à moêlle je ne sais combien de fois je l'ai lu!.Excellent.

... j'ai réussi tant bien que mal ... car c'est 'achement chaud-cacao à trouver ... à me constituer une belle triplette "os à moelle"


... et un 3e ... mais impossible de trouver photo sur le net ...

rien que du bonheur ! ...

«Donner avec ostentation, ce n’est pas très joli ; mais ne rien donner avec discrétion, ça ne vaut guère mieux.»

"Le ministère
de l'Intérieur nous prie de porter à
la connaissance du public l'avis suivant :

"A partir du 18
juillet, les trottoirs d'en face devront
être, sans exception, situés de l'autre
côté de ceux auxquels ils font vis-à-vis."

"Dame cherche
nourrice aveugle pour enfant qui braille."

J'ai enfin fini Démences de Masterton et j'ai vraiment bien aimé, surtout quand il cause de croyances ou d'histoires anciennes (druidisme, le joueur de flûte d'Hamelin...etc)
Côté horreur, il est vraiment bourrin, surtout qu'il avait l'air de prendre un malin plaisir à faire péter les nez des gens (alors que le mien n'est pas encore complètement réparé)

Un rude hiver, de Raimond Queneau
Le style est très marrant (mieux que du michel audiard)

On n'y voit rien par Daniel Arasse.
Que fait-on quand on regarde une peinture ? A quoi pense-t-on ? Comment dire, comment se dire à soi-même ce que l'on voit ou devine ? Et comment l'historien de l'art peut-il interpréter sérieusement ce qu'il voit un peu, beaucoup, passionnément ou pas du tout ?
En 6 courtes histoires, Daniel Arasse propose des aventures du regard...etc

Moi je lis "The player of games" du cycle de la culture de Iain M Banks (auteur écossais).

C'est un cycle de SF dont les bouquins peuvent se lire indépendamment qui présente une société futuriste ou l'homme s'est débarrassé de toute contraintes, dont le travail et les maladies, et vit en toute insouciance dans un système a priori parfait basé sur le partage (de toute manière l'humanité s'est dispersée sur un territoire tellement grand qu'elle ne se gêne pas) et les loisirs.

Le truc c'est que cette forme d'humanité cherche à tout prix à assimiler les autres sociétés dites "moins avancées", persuadée de sa supériorité absolue. C'est l'enjeu de "the player of games".

On m'avait dit beaucoup de bien de cette série, mais pour l'instant je trouve ça juste sympa... l'humour, assez british, est parfois un peu scabreux, l'intrigue est intéressante, sans plus, c'est finalement plus divertissant que "philosophant".. Ou alors je passe un peu à côté, ce qui est probable !

Hop pour plus de détails :
http://www.cafardcosmique.com/BANKS-Iain

J'entame ce soir le livre d'Alexandre Goldfarb et Marina Litvinenko :Meurtre d'un dissident : L'empoisonnement d'Alexandre Litvinenko et le retour du KGB
Présentation de l'éditeur
Le 23 novembre 2006, Alexandre Litvinenko,
ancien agent du KGB réfugié à Londres, mourait empoisonné.
Relayé par la presse du monde entier, ce crime devient une affaire d'État. Sait-on aujourd'hui qui a commandité l'assassinat ? Et qui a pu se procurer le polonium 210, substance radioactive mortelle ? Dans un document exceptionnel, où la réalité dépasse constamment la fiction, Marina, la femme de Litvinenko, et Alex Goldfarb, dissident russe lui aussi et l'un de ses plus proches amis, plongent le lecteur au cœur d'une fascinante énigme. Ils racontent la tragédie de Litvinenko comme personne ne pouvait le faire, et brossent, sur fond d'espionnage et de police secrète, dix ans d'histoire de la Russie, apportant de nombreuses révélations sur le système des oligarques (Boris Berezovski en tête), les trafics d'influence, la guerre en Tchétchénie et, bien sûr, l'irrésistible ascension de Vladimir Poutine du KGB à la tête de l'État.

Biographie de l'auteur
Alex Goldfarb a fait la connaissance d'Alexandre Litvinenko dans les années 1990 à Moscou, il l'a aidé à fuir la Russie avec sa famille en 2000. Il dirige actuellement la fondation internationale pour les libertés civiles (Al) et vit à New York.

Marina Litvinenko est la veuve d'Alexandre Litvinenko. Elle a obtenu le droit d'asile en Grande-Bretagne, où elle continue de vivre avec son fils.

HP Lovecraft
Je viens de finir L'affaire Charles Dexter Ward (vraiment énorme, à lire absolument).
Je commence Le cauchemar d'Innsmouth.
Après viendra Le masque de Cthulhu.

Je suis en train de lire Parler d'amour au bord du gouffre de Boris Cyrulnik